Parlons musique (2)

Suite et fin du best of.

Georges Brassens – Dans l’eau de la claire fontaine
Louis de Caix d’Hervelois – Prélude (Pièces de viole, l. I) (surtout les dernières mesures)
Couperin – Mem (Leçons de ténèbres)
Daft Punk – Veridis Quo
Deep Purple – Soldier of Fortune
Delibes – Où va la jeune Indoue (Lakmé)
Depeche Mode – Photographic
Depeche Mode – Things You Said
Dire Straits – Telegraph Road
Dream Theater – Wait for Sleep
Emerson, Lake & Palmer – Jerusalem
Eurythmics – Sweet Dreams
Fauré – Pie Jesu (Requiem)
Gainsbourg – SS in Uruguay
Jean-Jacques Goldman – Né en 17 à Leidenstadt
Haendel – Choeur « Oh Love divine » (Theodora)
Haendel – Sarabande en ré m
Haendel – He was despised (Le Messie)
Haendel – No, di voi non vo’ fidarmi
Imperium – Europa nazione
Intolleranza – La revoluzione è come il vento
Indochine – Canary Bay
Iron Maiden – Fear of the dark
Jethro Tull – Living in the past
Joy Division – Love will tear us apart
Joy Division – New dawn fades
Joy Division – She’s lost control
King Crimson – In the court of the Crimson King
Krafwerk – Europe endless
The Mamas & the Papas – California Dreaming
Jean-Pax Méfret – Le loup de guerre
Metallica – Enter Sandman
Muse – Butterflies & Hurricanes (version instrumentale, parce que Matthew Bellamy a une voix qui donne envie de jouer au squash avec des lapins nains)
Muse – Piano Thing
Nightwish – End of all hope
Nirvana – Smells like teen spirit
Nirvana – Rape me
Paris Violence – Faubourg 84
Paris Violence – En attendant l’apocalypse
Pärt – Magnificat (Te Deum)
Pergolèse – Sancta mater istud agas (Stabat Mater)
Pink Floyd – The Wall
Pink Floyd – Dark Side of the Moon
P. O. D. – Alive
Purcell – Air « O Solitude, my sweetest choice »
Queen – Killer Queen
Queensrÿche – Anarchy X
Rhapsody – Emerald Sword
Rolling Stones – Paint It Black
Michel Sardou – Le Paraguay n’est plus ce qu’il était
Science & Violence – Les Nazis font des bêtises
Sclérose – Vivre
Simon & Garfunkel – Scarborough Fair
Simon & Garfunkel – The Sound of Silence
Status Quo – In the army now
Stratovarius – Stratofortress
System of a Down – Holy Mountains
System of a Down – Chop Suey
Vae Victis – Un monde absurde
Vangelis – Thème des Chariots de feu
Verdi – Laudi alla Virgine
Wagner – Ouverture (Tannhaüser)

Parlons musique (1)

J’ai passé quelques heures en compagnie de Windows Media Player (note pour les geeks, connaisseurs et autres fans du libre : oui, je sais) à chercher les meilleurs morceaux de mon abondant stock de musiques en tous genres. J’arrive à une compilation d’une grosse soixante-dixaine de morceaux. Les dix premiers, par ordre alphabétique.

Hors ordre alphabétique (compositeur inconnu) : Me ne frego (l’hymne non officiel du fascisme italien, beaucoup plus amusant que Maréchal nous voilà, le Horst Wessel Lied ou la Marseillaise), Opium (répertoire des troupes de marine, délices d’Indochine), El cant dels ocells (Noël catalan, rendu célèbre par le violoncelliste Pau Casals), La Santa Espina (sardane, pour les curieux, les paroles sont dans Notre avant-guerre de Brasillach).

The Alan Parsons Project – Eye in the sky (le tube d’un groupe de rock progressif anglais)
Amici del Vento – Amici del Vento (chanson nationale-européenne italienne – on ne dira jamais à quel point la chanson d’extrême-droite italienne surclasse sa consœur française)
Aphrodite’s Child – The Four Horsemen (chanson de l’album 666 décrivant, comme son nom les quatre cavaliers de l’Apocalypse)
Bach – Cantate Christ lag in Todesbanden (BWV 4) (peut-être la plus connue des cantates de Bach, à juste titre)
Bach – Choral Nun komm’ der Heiden Heiland (BWV 659) (transcription pour orgue, je ne sais pas très bien pourquoi je l’aime plus que les autres ; c’est assez dépouillé)
The Beatles – Eleanor Rigby (la meilleure mélodie des Beatles)
Georges Bizet – Ouverture (Carmen) (j’assume)
Blink 182 – What’s my age again ? (mes quatorze ans)
Boëlmann – Toccata (Suite gothique) (défouloir d’organiste, avec le pam, pa pam, pa pam au pédalier)
Brahms – Denn alles Fleisch, es is wie Gras (Requiem allemand) (un petit côté musique de film par Hans Zimmer, mais bon, le baroque était terminé, il fallait bien s’occuper ; et puis d’abord c’est Hans Zimmer qui fait du sous-post-romantique, na)